Jusqu’à ma rencontre avec Anne-Sophie Diagora, je considérais le coaching comme un luxe inutile

Un aveu pour commencer : jusqu’à ma rencontre avec Anne-Sophie Diagora, je considérais le coaching comme un luxe inutile, une béquille pour les indécis et les fragiles.

J’ai changé d’avis.

Début 2010, alors que je dirige une rédaction de presse écrite d’une cinquantaine de personnes, une succession de crises et de projets avortés m’amènent au bord de la rupture avec ma direction générale. Je deviens agressif, ne trouve plus aucun plaisir à mon travail. Ma directrice générale me propose alors un « bilan de compétences approfondi/coaching ».

Mon travail avec Anne-Sophie durera plus d’un an et se révélera d’une richesse insoupçonnée. D’abord grâce à la qualité d’écoute d’Anne-Sophie, ensuite grâce à la force de sa méthode. Celle-ci peut sembler répétitive tant l’on revient souvent sur les mêmes terrains, ceux des ressorts profonds de la personnalité, des compétences mais aussi et surtout des sources de plaisir et de confort dans le travail. C’est précisément à force de labourer sans cesse ces terrains que l’on parvient à cerner l’essentiel. Plus qu’un classique « coaching », Anne-Sophie m’a aidé à mener une véritable enquête sur moi-même. Ce travail est  terminée.

Aujourd’hui, je connais précisément mes forces, mes faiblesses, mes sources de plaisirs, mes motifs de désagrément et de stress. Cette conscience est d’une valeur irremplaçable dans l’organisation quotidienne de mon travail, mon management et ma stratégie de développement professionnel.

 

Frédéric, rédacteur en chef quotidien national